18 juillet 2010
Karim, juin 2010
Un studio. Comme un ventre. Vide à cause de mon départ proche, ressemblant dès lors à une chambre d’hôtel informelle et blanche, surchauffée par la moiteur d’un été naissant, déjà lourd. Il me couvrait la bouche et le cœur de baisers tempétueux. Je sentais...