14 avril 2010
Los Angeles, Vogue, 1982 by Helmut Newton
Il y a la chaleur. Il y a le ciel trop bleu. Il y a l’asphalte trop noir, trop dur. Il y a des odeurs trop enivrantes. Ce sont des odeurs de peau, de terre, de fleurs et d’orages. Il y a des couleurs qui captent l’œil et l’inondent ; la chair de l’image...